Question : Des hadith authentiques déclarent nettement que celui qui abandonne la prière est mécréant. Si nous les appliquons à la lettre nous devrons priver celui qui a abandonné la prière délibérément de ses droits à la succession et réserver à ses pareils un cimetière spécial et nous abstenir de leur faire la prière des morts, étant donné qu’un mécréant ne doit jouir ni de la paix ni de la sécurité. N’oublions pas que si nous faisions le recensement de ceux parmi les croyants qui observent fidèlement la prière, ils ne dépasseraient pas 6 % des hommes et un peu moins chez les femmes. Que pense la Charia de ce qui précède? Qu’en est-il de répondre aux salutations de celui qui a abandonné la prière ?