الرزاق
كلمة (الرزاق) في اللغة صيغة مبالغة من الرزق على وزن (فعّال)، تدل...
ʽÂ’ishah (qu'Allah l'agrée) a dit : «Il arrivait au Messager d'Allah (sur lui la paix et le salut) d'abandonner une pratique, même s'il aimait bien l'accomplir, de peur que les gens l'accomplissent et qu'elle ne leur soit alors imposée. Je n'ai jamais vu le Messager d'Allah (sur lui la paix et le salut) faire la prière surérogatoire du Ḍuḥâ, alors que moi, je l'accomplissais.»
ʽÂ’ishah (qu'Allah l'agrée) relate qu'il arrivait au Messager d'Allah (sur lui la paix et le salut) d'abandonner une pratique, même s'il aimait bien l'accomplir, de peur que les gens l'accomplissent, qu'elle ne leur soit ensuite imposée et qu'ils trouvent cela pénible ou qu'ils soient incapables de l'accomplir. Puis, elle mentionna qu'elle n'a jamais vu le Prophète (sur lui la paix et le salut) faire la prière surérogatoire du Ḍuḥâ, la matinée. Les savants ont expliqué cette infirmation par la constance de cette pratique : c'est à dire que le Messager d'Allah (sur lui la paix et le salut) délaissait parfois l'accomplissement de la prière de la matinée car il craignait qu'elle ne devienne obligatoire envers sa communauté comme ʽÂ’ishah (qu'Allah l'agrée) l'a énoncé au début du ḥadith.