الله
أسماء الله الحسنى وصفاته أصل الإيمان، وهي نوع من أنواع التوحيد...
Anas (qu’Allah l’agrée) relate que le Messager d’Allah (sur lui la paix et le salut) entra [un jour] auprès de son fils Ibrahim (qu’Allah l’agrée) pendant que ce dernier agonisait. Les larmes se mirent à couler des yeux du messager. ‘Abd ar-Rahman Ibn ‘Awf (qu’Allah l’agrée) lui dit alors: «Ô Messager d’Allah ! Toi aussi [tu pleures] ?» «Ô Ibn ‘Awf !» lui répondit le prophète «Ceci est une miséricorde.» Puis, il ajouta : «L’œil pleure, le cœur s’attriste, mais nous ne disons que ce qui satisfait notre Seigneur. Ô Ibrahim ! Certes, ta séparation nous remplit de chagrin.»
Le Messager d’Allah (sur lui la paix et le salut) entra auprès de son fils Ibrahim (qu’Allah l’agrée) pendant que ce dernier agonisait, alors des larmes se mirent à couler des yeux Messager d’Allah (sur lui la paix et le salut). ‘Abd ar-Rahman Ibn ‘Awf (qu’Allah l’agrée) lui dit alors d’un air étonné : «Ô Messager d’Allah ! Toi aussi [tu pleures] ?» En effet, le Prophète (sur lui la paix et le salut) était celui qui les exhortait à patienter et leur interdisait de perdre patience. Sa parole : «Ô Ibn ‘Awf ! Ceci est une miséricorde.» Le prophète lui répondit que ceci était une miséricorde, et que la situation à laquelle il assistait, prouvait la douceur de son cœur envers son fils. Ensuite, il précisa son propos : «L’œil pleure, le cœur s’attriste, mais nous ne disons que ce qui satisfait notre Seigneur.» C’est-à-dire : nous ne sommes pas mécontents et nous patientons. Enfin, sa parole : «Ô Ibrahim ! Certes, ta séparation nous remplit de chagrin.» C’est-à-dire : la miséricorde et la compassion n’annulent pas [ni n’infirme] la patience et la foi au Destin.