الشافي
كلمة (الشافي) في اللغة اسم فاعل من الشفاء، وهو البرء من السقم،...
Les vêtements sont tout ce qui permet de cacher le corps, ou une partie du corps. Il peut s'agir de vêtements en laine, en cuir, ou autres.
En islam, l’objectif fondamental des vêtements est de cacher et dissimuler les parties intimes du musulman, de s’embellir, de se protéger de la chaleur et du froid, de préserver sa dignité et de mettre en évidence les bienfaits octroyés par Allah. Il y a deux sortes d’habits : 1- Les vêtements destinés à l'homme. Ceux-ci se doivent d'être larges, non-moulants ni transparents. De même, ils ne doivent pas ressembler aux habits portés par les mécréants. 2- Les vêtements destinés aux femmes. Ceux-ci doivent remplir plusieurs conditions : ils doivent recouvrir l’ensemble du corps ; ils doivent être larges et non-moulants ni transparents ; non-ornementés ; ils ne doivent pas ressembler aux habits portés par les mécréants ou par les hommes. Enfin, il y a des règles de bienséance à respecter et des invocations à formuler au moment de s’habiller, et de se déshabiller. Par exemple, lorsqu’on s’habille, on commence toujours par le côté droit ; lorsqu’on se déshabille, on commence cette fois-ci par le côté gauche ; lorsqu’on s’habille, ou lorsqu'on se déshabille on commence par évoquer le nom d'Allah : « bismillah , on formule l'invocation suivante : « Louange à Allah qui m’a vêtu de cet habit et qui m’en a pourvu sans le moindre effort de ma part. Il existe des invocations similaires.
Pluriel du mot : habit (« Libâs ) qui est ce qui permet de cacher le corps et de le couvrir. L’étymologie du mot : « Libâs vient du mot : « Al-Labs qui renvoie à ce qui est mélangé. On dit : « J’ai mêlé l’affaire ; « Je la mêle ; « mélange . C’est-à-dire : « je l’ai mélangé l’une avec l’autre. On appelle aussi l’habit, le vêtement (« Ath-Thawb ) car il se mêle au corps.
رمضانُ شهرُ الانتصاراتِ الإسلاميةِ العظيمةِ، والفتوحاتِ الخالدةِ في قديمِ التاريخِ وحديثِهِ.
ومنْ أعظمِ تلكَ الفتوحاتِ: فتحُ مكةَ، وكان في العشرينَ من شهرِ رمضانَ في العامِ الثامنِ منَ الهجرةِ المُشَرّفةِ.
فِي هذهِ الغزوةِ دخلَ رسولُ اللهِ صلّى اللهُ عليهِ وسلمَ مكةَ في جيشٍ قِوامُه عشرةُ آلافِ مقاتلٍ، على إثْرِ نقضِ قريشٍ للعهدِ الذي أُبرمَ بينها وبينَهُ في صُلحِ الحُدَيْبِيَةِ، وبعدَ دخولِهِ مكةَ أخذَ صلىَ اللهُ عليهِ وسلمَ يطوفُ بالكعبةِ المُشرفةِ، ويَطعنُ الأصنامَ التي كانتْ حولَها بقَوسٍ في يدِهِ، وهوَ يُرددُ: «جَاءَ الْحَقُّ وَزَهَقَ الْبَاطِلُ إِنَّ الْبَاطِلَ كَانَ زَهُوقًا» (81)الإسراء، وأمرَ بتلكَ الأصنامِ فكُسِرَتْ، ولما رأى الرسولُ صناديدَ قريشٍ وقدْ طأطأوا رؤوسَهمْ ذُلاً وانكساراً سألهُم " ما تظنونَ أني فاعلٌ بكُم؟" قالوا: "خيراً، أخٌ كريمٌ وابنُ أخٍ كريمٍ"، فأعلنَ جوهرَ الرسالةِ المحمديةِ، رسالةِ الرأفةِ والرحمةِ، والعفوِ عندَ المَقدُرَةِ، بقولِه:" اليومَ أقولُ لكمْ ما قالَ أخِي يوسفُ من قبلُ: "لا تثريبَ عليكمْ اليومَ يغفرُ اللهُ لكمْ، وهو أرحمُ الراحمينْ، اذهبوا فأنتمُ الطُلَقَاءُ".