En ces temps de crise financière, il est bon de rappeler les dangers de l’usure. L’usure (ribâ) est prohibée en islam, qu’elle qu’en soit la forme. Cette prohibition s’applique au débiteur comme au créancier ; que le bénéficiaire soit riche ou pauvre. L’un et l’autre commettent un péché, et ils sont tous les deux maudits. Le même sort est réservé à ceux qui les assistent à titre de témoins ou de secrétaires, en vertu de la portée générale des versets et des hadiths sûrs qui indiquent son interdiction. Écoutez notre frère Abou Anas pour vous rendre compte de son danger...