الخالق
كلمة (خالق) في اللغة هي اسمُ فاعلٍ من (الخَلْقِ)، وهو يَرجِع إلى...
ʽImrân ibn Ḥuṣayn (qu'Allah les agrée) dit : "Le verset de l'aisance est dans le livre d'Allah le très haut et nous l'avons accompli du temps du messager d'Allah)paix et salut sur lui(. Il n'y a aucun verset qu'il l'ait abrogé et il ne l'a pas interdit jusqu'à sa mort. Cependant c'est un homme qui a donné son avis". Al-Bukhârî a dit : "Il est dit qu'il s'agit de ʽUmar ". Dans la version de Muslim il est dit : "Le verset de l'aisance -c'est-à-dire l'aisance durant le pèlerinage- fut révélé et le messager d'Allah -paix et salut sur lui- nous ordonna de l'accomplir. Il n'y a aucun verset qu'il l'ait abrogé et il ne l'a pas interdit jusqu'à sa mort ". Les deux versions ont le même sens.
'Imrane Ibn Hussayn (qu'Allah l'agrée) a évoqué l'aisance d’une vie normale après avoir fait la 'Umra en attendant le pèlerinage. Il a dit: " Il fut légiféré dans le Livre d'Allah et dans la Sunna du messager d'Allah (sur lui la paix et le salut). En ce qui concerne la Parole d'Allah le Très Haut: " Quiconque a joui d’une vie normale après avoir fait la 'Umra en attendant le pèlerinage, doit faire un sacrifice qui lui soit facile."(Sourate Al baqara, la vache verset 196); et dans la Sunna, le prophète (sur lui la paix et le salut) l'a pratiquée et approuvée sans qu'il n'y ait eu de révélation du Coran pour l'abroger et il ne l'a pas interdite jusqu'à sa mort. Donc, le verset est toujours valable et n'a pas été abrogé, alors comment un homme peut donner à sa guise son avis personnel sur la question? Il veut désigner par cela l'interdiction de 'Umar Ibn Al Khattab (qu'Allah l'agrée) de l'aisance durant les mois du Hajj; ceci n'était qu'après un effort de réflexion sur cette question de jurisprudence afin d'accroître les pèlerins durant toute l'année car s'ils venaient à accomplir la 'Umra avec le pèlerinage, ils ne viendraient pas l'accomplir en dehors de la saison du Hajj. Par conséquent, l'interdiction de 'Umar (qu'Allah l'agrée) de l'aisance durant les mois du Hajj ne désigne pas son illicéité, ni le fait de délaisser le Coran et la Sunna, c’est plutôt une interdiction temporaire pour le bien commun.