الجبار
الجَبْرُ في اللغة عكسُ الكسرِ، وهو التسويةُ، والإجبار القهر،...
La joie éprouvée en son for intérieur de voir autrui touché par des méfaits et des préjudices.
« Ach-Chamâtah est la joie [éprouvée] suite aux malheurs qui atteignent autrui. Ceci est considéré comme faisant partie des caractères blâmables qui se fixent dans le for intérieur dès lors où la personne n’éprouve plus d’affection, d’amour et d’empathie. Elle se remplit alors de l’aversion, la rancune et la haine. Normalement, la personne souffre de la souffrance éprouvée par autrui et elle lui souhaite le bien [bien évidemment] s’il y a entre eux de l’amour et de l’affection. Mais, si elle le déteste, alors elle se réjouira de sa tristesse et de son malheur.
La réjouissance est la joie de l’ennemi de voir celui qu’il exècre être touché par des épreuves et des malheurs. On dit : se réjouir de ; il se réjouit ; réjouissance ; etc. C’est-à-dire : être joyeux de ce qui touche autrui comme préjudice. On a dit que : « Ach-Chamâtah est la joie de l’ennemi de manière absolue.