الباطن
هو اسمٌ من أسماء الله الحسنى، يدل على صفة (الباطنيَّةِ)؛ أي إنه...
Attributs d’Allah-Glorifié et Exalté soit-Il- qui associent une preuve rationnelle attestée, la nature originelle saine tout en étant rapporté dans la Législation.
Les attributs rationnels correspondent à la description qu’Allah a fait de Lui-même mais aussi celle qu’a faite Son Messager-sur lui la paix et le salut- et que la raison conçoit tout à fait. Selon les ‘Asharites, qui sont les partisans d’Abu Al-Ḥasan ‘Alî Ibn Ismâ’îl Al Ash’arî, il y a uniquement sept attributs. Ils les nomment les attributs relatifs à la signification, dans le sens de l’existence d’une signification supplémentaire à l’essence intrinsèque. Ces sept attributs sont : la science, la vie, la capacité, l’ouïe, la vue, la parole et la volonté. Ces attributs sont soit des attributs liés à l’essence intrinsèque ou soit des attributs liés aux agissements. Quant aux restes des attributs qui correspondent aux attributs textuels et aux attributs d’action, les Asharites les réfutent et imposent soit une interprétation soit l'abandon de son sens. Ils se représentent la déduction rationnelle de manière générale, c’est-à-dire : si Allah n’est pas décrit par un des deux attributs alternatifs, alors Il sera nécessairement décrit par l’autre, c’est inévitable. Par exemple : s’Il n’est pas vivant, alors Il est mort ; s’Il n’est pas savant, alors Il est ignorant ; s’Il n’est pas capable, alors Il est incapable ; etc. Voilà pourquoi, la preuve de Son existence, Sa volonté et Sa science sont une manifestation de Son action-Glorifié et Exalté soit-Il- sur Sa création. La manifestation de cette action englobe une sagesse et une perfection qui nous indique que Celui qui l’a accompli est [nécessairement] décrit par l'existence, la volonté et la science. En effet, cela ne pourrait légitimement être réaliser par quelqu’un qui est décrit par des attributs contraires, comme : la mort, l’incapacité et l’ignorance.
رمضانُ شهرُ الانتصاراتِ الإسلاميةِ العظيمةِ، والفتوحاتِ الخالدةِ في قديمِ التاريخِ وحديثِهِ.
ومنْ أعظمِ تلكَ الفتوحاتِ: فتحُ مكةَ، وكان في العشرينَ من شهرِ رمضانَ في العامِ الثامنِ منَ الهجرةِ المُشَرّفةِ.
فِي هذهِ الغزوةِ دخلَ رسولُ اللهِ صلّى اللهُ عليهِ وسلمَ مكةَ في جيشٍ قِوامُه عشرةُ آلافِ مقاتلٍ، على إثْرِ نقضِ قريشٍ للعهدِ الذي أُبرمَ بينها وبينَهُ في صُلحِ الحُدَيْبِيَةِ، وبعدَ دخولِهِ مكةَ أخذَ صلىَ اللهُ عليهِ وسلمَ يطوفُ بالكعبةِ المُشرفةِ، ويَطعنُ الأصنامَ التي كانتْ حولَها بقَوسٍ في يدِهِ، وهوَ يُرددُ: «جَاءَ الْحَقُّ وَزَهَقَ الْبَاطِلُ إِنَّ الْبَاطِلَ كَانَ زَهُوقًا» (81)الإسراء، وأمرَ بتلكَ الأصنامِ فكُسِرَتْ، ولما رأى الرسولُ صناديدَ قريشٍ وقدْ طأطأوا رؤوسَهمْ ذُلاً وانكساراً سألهُم " ما تظنونَ أني فاعلٌ بكُم؟" قالوا: "خيراً، أخٌ كريمٌ وابنُ أخٍ كريمٍ"، فأعلنَ جوهرَ الرسالةِ المحمديةِ، رسالةِ الرأفةِ والرحمةِ، والعفوِ عندَ المَقدُرَةِ، بقولِه:" اليومَ أقولُ لكمْ ما قالَ أخِي يوسفُ من قبلُ: "لا تثريبَ عليكمْ اليومَ يغفرُ اللهُ لكمْ، وهو أرحمُ الراحمينْ، اذهبوا فأنتمُ الطُلَقَاءُ".