الله
أسماء الله الحسنى وصفاته أصل الإيمان، وهي نوع من أنواع التوحيد...
'Abdullah ibn Buraydah relate que son père a dit : «J'ai entendu le Messager d'Allah (sur lui la paix et le salut) dire : «Le Witr est une obligation et celui qui ne le prie pas n'est pas des nôtres ! Le Witr est une obligation et celui qui ne le prie pas n'est pas des nôtres ! Le Witr est une obligation et celui qui ne le prie pas n'est pas des nôtres !»
Par «une obligation» on peut vouloir dire : une chose effectivement légiférée et qui fait bel et bien partie de la tradition prophétique ; on peut également vouloir dire : une chose obligatoire dans le sens d'impératif. Ici, [c’est le premier sens qui est voulu] il sert à insister sur le fait que le Witr est légiféré, car c'est cette façon de le comprendre qui fait concorder ce ḥadith avec les autres ḥadiths qui montrent que le Witr n'est pas obligatoire. «Celui qui ne le prie pas n'est pas des nôtres !» : c'est une façon de menacer et de dissuader celui qui n’accomplit pas le Witr ; cela ne signifie pas qu'il est mécréant, mais plutôt que sa façon de faire n'est pas notre tradition, ni notre voie. «Le Witr est une obligation et celui qui ne le prie pas n'est pas des nôtres !» : c'est une répétition qui a pour but d'insister encore sur la règle en question. A noter que ce ḥadith a été déclaré faible par un certain nombre de savants et qu'ainsi, finalement, il ne reste plus aucune contradiction [concernant le statut de cette prière].